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Yearly Archives: 2014

Sean McColl champion du Canada de bloc

01 Avr

Les compétitions ont fait leur retour ce week-end! En plus des championnats de France de bloc et de la Tierra Boulder Battle, avaient lieu les championnats de bloc du Canada.

Sans surprise, c’est Sean McColl qui remporte la compétition en sortant 2 blocs en 2essais! Notons que le champion Canadien c’est tout récemment inscrit au club de Chambéry pour venir perfer lors des compétitions françaises! Il sera présent dès ce week-end lors de la coupe de France de Riom!
Retour au Canada, puisqu’on retrouve Jason Holowach, au coude à coude avec Sean en sortant lui aussi 2 blocs en 2 essais. Mais avec une prise de zone de moins que Sean, Jason Holowach monte sur la deuxième marche du podium. Enfin, Josh Larson remporte la médaille de bronze.

Du côté des femmes, les finales auront été difficile! Parmi les six finalistes, trois d’entre elles ne parviennent même pas à aller chercher les prises de zone…
C’est donc la toute jeune Elise Sethna qui s’impose, avec 2 blocs en 2 essais. Kerry Briggs prend la seconde place avec un seul bloc à vue. Enfin, c’est Celeste Wall qui empoche la médaille de bronze.

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La slackline, la nouvelle sensation « montagne » pour les costauds mentalement

01 Avr

C’est l’activité qui peut apporter de nouvelles sensations aux amateurs de grimpe : la slackline. Cette activité, qui s’apparente au funambulisme, fait de plus en plus d’adeptes en France, et notamment auprès de la communauté pratiquant l’escalade. Elle consiste à marcher en équilibre, sans accessoires, sur une sangle tendue, entre deux points d’ancrage. Mais à la différence des fils-de-féristes, la sangle est élastique et dynamique. Elle bouge donc dans tous les sens, sans balancier qui permettrait de s’équilibrer.

Même si elle s’est démocratisée depuis peu chez nous, cette activité, considérée d’ailleurs comme un sport à part entière, a vu le jour il y a près de 20 ans aux Etats-Unis. La discipline se divise en trois catégories : la longline (qui peut être pratiquée en ville, dans des parcs. La sangle n’est qu’à quelques dizaines de centimètres de hauteur, et le but du jeu est de pratiquer la plus grande distance possible) ; la jumpline (branche dérivée du skate ou du BMX, mais avec une slack, où la sangle est tendue très fort sur une courte distance et l’on s’en sert comme trampoline, chaque rebond étant l’occasion de faire une figure : plus l’enchaînement de figures est long et compliqué, mieux c’est et il existe même des tournois, toujours spectaculaires) ; et surtout la highline.

Vidéo:

C’est celle-ci qui, bien sûr, nous intéresse le plus. Car la highline consiste à marcher sur une sangle en hauteur, suffisamment haute pour que le pratiquant serait condamnée à une mort quasi certaine en cas de chute s’il ne s’attache pas (ce qui est, évidemment, fortement déconseillé). Ici, le défi est avant tout psychologique, même si le pratiquant est parfaitement assuré et qu’il n’y a aucun risque. Il faut convaincre son esprit de vouloir traverser dans le vide. Et les sensations sont bien différentes de celles de la grimpe classique. Là, pas de roche contre laquelle se caler, pas de prises à accrocher. La sensation d’être au-dessus du vide est nettement plus intense. Adrénaline assurée !

Pour aborder ce sport extrême dans les meilleures conditions, il est possible de se préparer en faisant de la méditation et du yoga, qui aide à dompter son esprit. Un autre bon moyen d’aborder une expérience demandant un contrôle de soi-même total est de pratiquer des activités mettant ses nerfs fortement à contribution. Pour cela, le poker est le meilleur des jeux. En quelques secondes, on peut perdre ou gagner beaucoup d’argent. Et tous ceux qui arrivent à faire de gros bénéfices en jouant au poker, notamment sur internet, ne sont pas forcément les meilleurs tacticiens, mais ceux qui parviennent le mieux à gérer leurs émotions. Il n’est d’ailleurs pas étonnant que de nombreux grands sportifs, à l’image d’un Rafael Nadal au mental incroyable sur un court, soit des fans absolus de poker. Il apprend à garder son calme, maîtriser ses peurs, pour vaincre psychologiquement son adversaire.

Et en matière de highline, cet adversaire là est tout à fait particulier, puisqu’il s’agit du vide. En milieu naturel, les amateurs de slackline cherchent généralement à installer leur sangle entre deux falaises, ou alors dans des forêts au sommet des arbres. Ou même au-dessus d’un lac. Un peu partout en France, des fanas de grimpe ou d’activités en plein air ont commencé à équiper la montagne.

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Et si le défi lancé est impressionnant psychologiquement, il est accessible à tout le monde, quel que soit son physique. Car quelle que soit sa corpulence, et qu’importe les sports que l’on a pratiqués auparavant, on comprend vite comment tenir en équilibre sur la sangle. Avec un petit peu de patience et de persévérance, on parvient en quelques heures à traverser « sa première ligne ». Mais quand même, pour tenter la highline, il faut un peu plus d’expérience, et surtout s’y connaître en matière de matériel technique (spécifiquement conçu pour la slackline). Ensuite, le mental fera la différence.

Et c’est d’ailleurs parce que la slackline requiert des aptitudes mentales (et physiques) que l’on ne retrouve pas dans d’autres sports, que ses partisans le considèrent comme un sport à part entière. D’ailleurs, des compétitions voient de plus en plus le jour. Même si l’objectif premier de la slackline est, comme pour l’alpinisme, de se faire plaisir et de gagner un combat contre soi-même. Les sensations viennent par étapes. Au début, on a l’impression que c’est impossible. Puis, après quelques essais, on comprend les réactions que la sangle aura en réponse à nos mouvements. Par la suite, on est capable de se surpasser et d’anticiper les mouvements de la ligne : c’est les premiers pas. Au final, une sérénité s’empare de nous, on réussit à avancer, comme si on volait. Pour la highline, les sensations sont décuplées !

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« Coma Sant Pere » 8c+ pour Florence Pinet et « Era Vella » 9a pour Gérôme Pouvreau!

31 Mar

Un séjour espagnol bien rentable pour le couple Pinet/Pouvreau!
Du soleil, des amis, des croix, que demander de plus?

Les croix fusent!

3 semaines de trip à Margalef, de quoi remplir le carnet de croix de nos deux tourtereaux!
Entre autres pour Florence Pinet: « El bal de triceps » 8b, « Via del quim » 8b+, « Terrence hill » 8b+
Gérôme Pouvreau viendra quand à lui à bout de « Aitzol » 8b+, « Via del quim » 8b+ flash, « Patinoso » 8c/+

Des ambitions qui se concrétisent!

Mais ce qui hantait principalement la tête de nos deux Français, c’est surtout « Coma Sant Pere » 8c+ pour Florence, et la fameuse « Era Vella » 9a pour Gérôme!
Pour Florence, « Coma Sant Pere » fut un vrai coup de cœur! 5 jours de travail lui seront nécessaires pour que la jeune femme dompte les mouvements de bloc du départ puis la section rési et exigeante qui suit! Un bon jour de collante, et hop, Florence Pinet se retrouvait au sommet de son premier 8c+!
Le même jour, Gé Pouvreau réalisait « Era Vella », le 9a le plus répété du monde est ouvert par Chris Sharma. Les 50m de cette voie n’auront pas résisté longtemps aux assauts de l’ex-champion du monde qui signe sa 22ème ascension.

Il reste des projets…

Il va falloir revenir à Margalef, ce qui ne devrait pas déplaire à nos deux grimpeurs! Le séjour sera écourté à cause du mauvais temps. Dommage, seul le pas de bloc de « Aitzol » aura résisté à Florence. Il lui reste aussi à travailler « Patinoso » et « Mind Control » 8c+, projet qu’elle a en tête à Oliana…

Direction le Maroc!

Mais pour le moment, Florence et Gérôme vont renfiler le baudrier puisqu’ils partent pour 3 semaines de grandes voies à Taghia, au Maroc! Affaire à suivre de très près donc!

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Les impressions de Marine Thévenet et Jeremy Bonder, champions de France de bloc 2014

31 Mar

Ce week-end a vu le sacre des nouveaux champions de France de bloc avec Marine Thévenet et Jeremy Bonder. Voici leurs commentaires respectifs:

Marine Thévenet:
« Ce n’était pas prévu… apres ma blessure j’ai grimpé, grimpé et grimpé et puis la forme revenait alors j’ai décidé de faire les compet’ pour m’amuser sans objectif précis. Le titre de championne de france.. je n’y avais pas vraiment pensé ! j’allais a Nozay pour grimper sur de beaux blocs, retrouver les copains, et me gaver de sensations ! Alors j’ai fait ce que je savais faire le mieux : je me suis éclatée ! Et les points… je les ai compté apres !!! Alors maintenant : place à la saison internationale et retour aux affaires !! en parlant d’affaires, j’en profite pour faire une petite annonce, je cherche actuellement un boulot de juriste en droit de la propriété intellectuelle ou en droit de la presse… alors si patron sympas cherche juriste tenant fort les arquées pour éplucher du droit et rédiger des contrats, me contacter »

Jeremy Bonder:
« Ca va faire maintenant un an et demi que j’ai intégré le pôle sur Fontainebleau et ça m’a  beaucoup fait progresser. Depuis le mois de juillet je suis orienté sur cette nouvelle saison 2014. Je sors de longs mois de préparation avec beaucoup de cycles d’entraînement. J’avais hâte que la saison commence, et bien sur cette compétition était très importante, elle faisait partie de mes objectifs: déjà le titre de champion de France et en jeu, mais c’est également une étape importante pour le sélection en équipe de France. Pour ce qui est de la grimpe, ce week-end s’est vraiment bien passé. J’arrive a garder la pôle position tout au long de la compétition: qualif, demi et finale. Les sensations étaient bonnes et j’ai pris beaucoup de plaisir à grimper dans les blocs, l’ouverture était démente l’organisation et l’accueil vraiment super! Week-end au top. Et surtout ça me lance bien pour les échéances internationales qui vont débuter à la fin du mois d’avril! »

  • Crédit photo: FFME
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Alex Puccio remporte la Tierra Boulder Battle!

31 Mar

Ce week-end, en parallèle des championnats de France de bloc, se déroulait la Tierra Boulder Battle. Pour la quatrième édition de cette compétition suédoise, les meilleures grimpeuses du monde ont fait le déplacement jusqu’à Stockholm: la locale de l’étape Minna Almqvist, l’Allemande Monika Retschy, Mina Leslie-Wujastyk récemment médaillée au CWIF, la Norvégienne Hannah Midtboe, Mina Markovic la Slovène et enfin Alex Puccio, tenante du titre.

La recette de cette compétition est simple! Prenez les six grimpeuses précédemment citées, faites les tracer leur propre bloc, et envoyez-les, le soir, dans les six blocs ainsi créés! La compétition devient ainsi difficile à gérer physiquement, mais aussi stratégiquement! Il faut être capable de tracer un bloc que l’on peut enchaîner, mais pas les autres! Tel est le secret de cet événement très apprécié des grimpeurs, servant aussi de réglage avant le lancement du circuit de coupes du monde, dans quelques semaines!

À ce jeu-là, Alex Puccio est impérial! Elle conserve largement son titre puisqu’elle réalise le combo parfait: les 6 blocs en 6 essais, rien que ça!
Mina Markovic, après sa médaille d’argent au CWIF, monte de nouveau sur la deuxième marche du podium avec 3 blocs en 5 essais.
Enfin, la sœur de Magnus, Hannah Midtboe rafle la médaille de bronze en sortant 2 blocs en 2 essais. Un joli petit cadeau d’anniversaire pour la Norvégienne qui a fêté hier ses 24 ans!

  • La vidéo complète de la compétition, pour revivre cette belle soirée!
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Coup de gueule sur l’organisation des compétitions de bloc…

30 Mar

Suite aux championnats de France de bloc qui se sont déroulés ce we à Nozay, le président du comité régional met les pieds dans le plat concernant l’organisation des compétitions de bloc…

« 78 hommes ont fait le déplacement sur cette compétition après avoir payé 31€. 35 de ces compétiteurs dont je fais parti ont réalisé 0 bloc sur les 5 proposés. 8 compétiteurs n’ont pas réalisé la moindre prise de zone (la prise de zone est une prise au milieu du bloc pour départager les compétiteurs).

Les blocs de qualification étaient ouverts uniquement pour les meilleurs. Seul le meilleur de chaque groupe réalise les 5 blocs. Les 2ème et 3ème de chaque groupe réalisent 4 blocs et les 4ème et 5ème font 3 blocs. Il faudrait que les ouvreurs prennent conscience que pour départager les 5 meilleurs, une finale est organisée le lendemain. Le dernier qualifié en demi devrait faire 4 blocs, les 10 meilleurs pourraient être ex-aequo. Là, les derniers qualifiés ne réalisent qu’un bloc comme 24 autres compétiteurs. »

Et vous, vous en pensez quoi…?

La suite à lire ici

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Marine Thévenet et Jéremy Bonder champions de France de bloc 2014 !!

30 Mar

Après des finales haletantes, c’est finalement Marine Thévenet et Jeremy Bonder qui s’imposent et qui deviennent les nouveaux champions de France de bloc 2014. Pour tous les 2, il s’agit de leur premier titre de champion de France de bloc seniors, ça se fête!

Chez les femmes, il y avait pourtant de la concurrence, notamment avec notre championne du monde Mélanie Sandoz, ou encore Fanny Gibert, la réunionnaise qui monte en puissance ces dernières années. Il aura fallu sortir 2 blocs en 3 essais pour que Marine monte sur la plus haute marge du podium. Fanny Gibert n’est pas loin avec 5 petits essais de plus, et c’est Mélanie Sandoz qui complète le podium avec un seul bloc au compteur. Derrière en 4ème position, on retrouve Charlotte Durif, qui compte se frotter un peu au bloc cette année, et pour une première épreuve, c’est plutôt pas mal. Elle est suivie de Nolwenn Berthier (5ème) et Hélène Janicot (6ème)

Chez les hommes, seul Jeremy Bonder parviendra à valider 2 blocs en 8 essais. Guillaume GLairon Mondet ne pourra faire mieux qu’un bloc en 2 essais suivi de près par l’entraîneur national Nicolas Januel avec 1 bloc en 3 essais. Thomas Caleyron, pourtant en forme après sa victoire internationale à Sheffied il y a quelques jours, se classera 4ème. Il sera suivi par Alban Levier (4ème) et Théo Langlois (5ème).

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Clean Up Day le 6 avril à Fontainebleau

29 Mar

Le 6 avril, toutes les bonnes volontés se donnent rendez-vous pour nettoyer certains secteurs de la forêt de Fontainebleau.

Tout d’abord, direction Apremont de 11h à 13h30, puis on enchaîne l’après midi à La roche aux sabots de 14h30 à 17h. Nous avons besoin de tous pour la réussite de cette action. De nombreux lots à gagner pour tous les participants.

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Le club Chambéry Escalade devient un Centre d’Excellence Sportive

28 Mar

Présentation du Parcours d’Excellence Sportive (PES)
Le Parcours d’Excellence Sportive (PES) est un outil pour la compétition de haut niveau, mis en place par l’état via la DTN de la FFME, avec l’objectif de podiums sur les compétions internationales seniors.

La structure associée Rhône-Alpes, et donc le CES Chambéry Escalade, a été officiellement intégrée dans le PES de la fédération par le ministère chargé des sports (arrêté du 14 janvier 2014).
Les actions du PES seront pour partie réalisées à l’échelle de la structure associée Rhône Alpes et pour partie dans le CES Chambéry Escalade.

Trois groupes de grimpeurs sont différenciés avec des ambitions adaptées :
* Le groupe Elite senior, en complément des entrainements Equipe de France (3 à 4 grimpeurs grimpeuses)
* Le groupe Haut niveau Espoir avec la préparation et l’entraînement d’un groupe très proche des sélections nationales (minimes, cadets, juniors) (3 à 6 grimpeurs grimpeuses)
* La préparation à la compétition de haut niveau d’un groupe de 8/13 ans (4 à 6 grimpeurs grimpeuses)
Outre les résultats en compétition permettant l’accès à la structure associé, l’intégration au CES Chambéry Escalade nécessite une très forte motivation personnelle, beaucoup de rigueur et un esprit collectif. Le niveau d’exigence global est très élevé.

Le CES Chambéry Escalade a pour ambition d’agir sur tous les facteurs de la réussite sportive :
– l’équilibre et l’épanouissement personnel
– la santé
– le mental
– la technique
– l’entrainement physique

Plus d’infos sur le site du club

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Nouveau 8c pour la jeune retraitée des compétitions, Angela Eiter

28 Mar

Durant son trip en Italie, à Arco plus précisément, la jeune retraitée des compétitions Angela Eiter s’est offert un nouveau 8c, « Bibita Biologica ». Depuis son arrêt des compétitions, Angy Eiter prend du temps pour grimper en falaise, pour son plus grand plaisir. Mais elle garde tout de même un pied dans le domaine de la compétition puisqu’elle a également la casquette de Coach…

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Montagne en scène à partir du lundi 31 mars

28 Mar

Le festival du film de montagne entame une tournée nationale ce lundi par 2 soirées au Grand Rex à Paris, lundi 31 mars et mardi 1er avril.

Au programme, 8 films d’escalade, d’alpinisme de kayak et de parapente en présence des protagonistes des films. Nous aurons cette année sur scène Chris Sharma, Ashima Shiraishi, David Lama, Sean Villanueva, Nicolas Favresse…

Le programme complet est accessible ici

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« De fil en aiguilles » en téléchargement HD

26 Mar

Synopsis:

« De fil en aiguille nous tissons notre vie, cherchant à lui donner un sens, à trouver les bonnes directions… »
Utilisant le prétexte de la « Highline » (funambulisme moderne) et du « Rope Jump » (saut pendulaire de falaises sur cordes), la jeune équipe Toulousaine de « Pyrénaline » nous montre comment elle trouve son équilibre entre vie en société, travail et passion.
Le film présente une année de tournages avec pour but d’ouvrir les lignes les plus emblématiques des Pyrénées (Aiguilles d’Ansabère, Brèche de Roland…), territoire encore vierge de ces activité, tout en établissant en parallèle des records de sauts pendulaires.
Une réflexion sur la recherche personnelle de chacun, qui permet d’accéder à une vie équilibrée, d’être heureux.

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Classes sports: Concilier l’excellence sportive et la réussite scolaire !

26 Mar

Dés septembre prochain, les meilleurs compétiteurs du club, mais également ceux qui souhaiterons nous rejoindre, pourront s’inscrire à la Cité Scolaire Briffaut afin de poursuivre leur cursus scolaire.

Les classes sports de cet établissement scolaire (à partir de la seconde) permettront en effet de poursuivre une scolarité exemplaire tout en s’entraînant sérieusement pour une saison sportive du feu de dieu !! L’idée est d’aménager les emplois du temps afin de dégager du temps pour l’entrainement. Deux conditions pour être admis dans ces classes : Etre un bon élève et avoir un niveau sportif exemplaire.

Pour tous renseignements complémentaires, n’hésitez pas à contacter Pierre, le président du club.

Source: Mineral Spirit

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Les championnats de France de bloc seniors, c’est ce week-end!

25 Mar

Le week-end prochain, la commune de Nozay (44) accueillera l’édition 2014 des championnats de France de bloc.

Les 100 meilleurs bloqueurs français hommes et femmes sont dans les starting-block.

Cette année en effet, et ce pour la première fois, la compétition est réservée aux qualifiés des différents championnats régionaux. La crème de la crème peaufine ainsi sa préparation pour être au top ce week-end des 29 et 30 mars pour les championnats de France de bloc.

« Il faut dire que les enjeux de cette compétition sont conséquents, confirme Nicolas Januel, entraîneur National. En plus du titre national, cette compétition participe au sélectif pour l’équipe de France de bloc 2014. »

Une compétition qui se déroulera comme d’habitude suivant le format coupe du monde, à savoir: un circuit de qualification de 5 blocs à vue, un circuit de demi-finales avec 4 blocs à vue, et enfin le circuit de 4 blocs de finale.

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Les impressions de Mirko Caballero suite à la réalisation de « Meadowlark Lemon », 8b+ bloc

25 Mar

Hier, Mirko réalisait « Meadowlark Lemon », 8b+ bloc à seulement 13 ans. Il revient ci-dessous sur cetteperf:

« Après avoir fait le départ debout au début de l’année, je voulais vraiment essayer le départ assis. On est revenu à Red Rock pour la semaine de vacances de Ski. Très rapidement j’ai pu faire tous les mouvements et au bout de quelques jours j’arrivais a faire le bloc en 2 moitiés, alors j’étais sûr que j’y arriverais très vite. Mais le bloc est très technique et la moindre erreur de tension ou de position du corps résultait immédiatement en une chute.

C’était très frustrant, et j’étais découragé car nous devions partir pour le championnats nationaux de bloc et je pensais que je ne pourrais pas revenir avant l’automne. Mais mon père m’a promis qu’on reviendrait durant un weekend. On est revenu le weekend après le championnat, mais je n’ai pu travailler le bloc que 2 jours car je suis tombé malade. Alors on est revenu ce weekend encore une fois. Il faisait trop chaud et je me décourageais car je n’arrivais pas à tenir les prises, mais hier quand on est retourné au bloc il y avait une bonne brise fraîche, et les prises étaient super collantes. J’ai travaillé les mouvements, et après 4 essais j’ai finalement réussi le bloc!

En tout j’ai travaillé 12 jours sur le départ assis, c’est la première fois que je n’ai travaillé qu’un seul problème à la fois. D’habitude j’essaye toujours pleins de blocs, mais là je ne voulais qu’une seule chose… C’était très frustrant, mais aussi incroyable quand j’ai enfin réussi le bloc… »

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Un nouveau 8c bloc pour Jimmy Webb!

25 Mar

La semaine dernière, nous vous annoncions que Jimmy Webb avait réussi l’exploit d’enchaîner 3 8c bloc en moins d’une semaine.
Le grimpeur Américain, toujours en Suisse, confirme qu’il est très en forme en ce moment! Il ajoute un nouveau 8c, et non des moindres à son carnet de croix. Il s’agit de « The story of 2 worlds » 8c. Ce bloc, situé à Cresciano avait été réalisé pour la première fois par Dave Graham. Jimmy vient de réaliser la huitième ascension de ce bloc ultra-physique, après Dai Koyamada, Paul Robinson, Jernej Kruder, Carlo Traversi, Giuliano Cameroni et Gabriel Moroni.

  • Giuliano Cameroni dans « The story of 2 worlds »:
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News des croix: Brad Weaver (9a), Felix Neumärker (9a+) et Ashima Shiraishi (8c+)

24 Mar

Les beaux jours sont de retour, et les croix déferlent sur la planète grimpe tous les jours!

On commence par Brad Weaver qui vient à bout de « Southern smoke direct », son premier 9a. A l’époque où il avait enchaîné la première version de la voie, le départ direct lui semblait impossible. Aujourd’hui, il nous démontre que c’est finalement bel et bien possible et propose 9a.

Du côté du Frankenjura, c’est Felix Neumärker qui s’illustre en enchaînant « Corona », un 9a+ réalisé pour la première fois par Markus Bock en 2006. Il s’agit de la voie la plus dure du Franken, donc autant vous dire que ce n’est pas cadeau!

Enfin, direction l’Espagne avec la jeune Ashima Shiraishi qui croite « Favela », 8c+ et « Rollito Sharma extension », 8c à Santa Linya. La future génération ne nous laisse pas de répit!

Sources:

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Premier 8b+ bloc à 13 ans pour Mirko Caballero avec « Meadowlark Lemon »

24 Mar

C’est fait! Après 3 trips différents, le jeune mutant Mirko Caballero est venu à bout du mythique bloc « Meadowlark Lemon », 8b+ à Red Rocks du côté de Las Vegas. Il devient le plus jeune grimpeur à atteindre ce niveau en bloc, respect!

Nous irons prochainement à sa rencontre pour en savoir plus sur le phénomène! Restez connectés!

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Interview / Portrait de Thomas Caleyron

23 Mar

Salut Thomas, peux-tu te présenter rapidement?

Salut ! Je m’appelle Thomas Caleyron, j’ai 29 ans et je suis pour le moment grimpeur semi-pro (je bosse au Mur de Lyon avec un contrat aidé qui me libère du temps pour plus m’entraîner). Je grimpe essentiellement en bloc, en extérieur tout comme en compétitions internationales.

Quand et comment as-tu été touché par le virus de la grimpe? Qu’est-ce qui t’a fait continuer?

J’ai démarré via l’UNSS de mon collège grâce à des profs d’EPS passionnés de grimpe et aussi grâce à un frère qui grimpait déjà.

Tu as commencé par faire de la diff, tu as notamment été 4ème aux championnats du Monde jeunes en 2003. Raconte-nous comment tu es passé au bloc?

Je manquais de force pour la diff’, du coup une petite saison de bloc devait me remettre au niveau ! Depuis je ne suis pas retourné à la diff’ mis à part quelques coupes de France car ça se passe plutôt bien en bloc.

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Parle-nous un peu de ton entrainement?

Je suis les entraînements de Seb’ Gnecchi (qui est aussi coach de l’équipe de France Handi) et depuis 3 ans ça se passe de mieux en mieux. Je m’entraîne entre 3 et 14 fois par semaine selon les cycles. Je grimpe surtout au Mur de Lyon avec des grimpeurs locaux.

Peux-tu détailler une semaine type de Thomas Caleyron?

Du coup, je n’ai pas vraiment de semaines types. L’important c’est que le corps se réadapte aux contraintes, donc il faut éviter les routines ! Ainsi mes entraînements sont plutôt variés et passent du footing aux volumes de blocs/voies, poutre/gullich/extérieur, muscu, jeté…

Quel est ton spot préféré et pourquoi?

J’adore Bishop (USA)! J’y ai découvert le resto qui fait les meilleurs burgers du monde (Burger Barn)

Quel est ton meilleur souvenir dans ta vie de grimpeur?

Je ne pourrais en choisir qu’un ! Mais en vrac: l’escalade/parapente aux Riglos, la grimpe sous la neige à Stanage, les highballs de Bishop, les déconnades avec les potes à l’entraînement, les concours de poutre avec ma copine, les compets où l’on se surpasse…

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Mentalement, à quoi penses-tu avant de te lancer dans un bloc?

C’est con, mais juste à grimper. En gros, faire le vide, être dans sa bulle et se laisser sa chance.

Comment est l’ambiance aux coupes du Monde de bloc?

Ça change d’une compet’ à une autre, en fonction de la pression, des autres athlètes qui sont avec nous, des coachs, de nos résultats. Il y a de plus en plus de pression du résultat pour rester en équipe de France et faire les compet’. Ce n’est parfois pas facile de se concentrer sur sa grimpe avec ces contraintes extérieures, mais il faut faire avec.

Arrives-tu à vivre de ta passion?

Si l’on compte que je bosse dans une salle d’escalade oui. Heureusement que j’ai un patron compréhensif qui a fait un peu d’escalade en son temps (François Petit). Ça me permet d’être assez libre de m’entraîner dans de bonnes conditions.

Tu as récemment remporté le CWIF. Reviens un peu sur cette compétition. Qu’est-ce qui a fait la différence selon toi lors des finales?

J’étais vraiment détendu! La bonne ambiance générale, une bonne forme et tout s’est mis en place à la perfection. J’avais la bonne intensité dans les blocs et des méthodes correctes. J’étais juste très concentré sur ma grimpe avec une vraie envie de tirer mon épingle du jeu.

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Du coup, la saison 2014 tu la sens plutôt bien?

J’aimerais bien continuer sur ce rythme-là ! Tout est en place pour que ça marche.

Quels sont tes objectifs justement en terme de compétition? Et en bloc naturel, as-tu des projets en vue?

J’ai un titre de champion de France à défendre et des podiums en coupe du Monde à aller chercher. En bloc naturel j’aimerais bien prendre du temps dans des blocs vraiment durs, en 8B+/8C.

Si tu devais donner un conseil aux jeunes et moins jeunes en quête de progression…?

Se faire plaisir et se donner à fond ! No pain, no gain !

Enfin, si tu as quelque chose à ajouter, c’est le moment!

Merci à Expression et Millet pour leur soutien depuis de nombreuses années. Merci aussi à mon club Escapilade, au CG de la Loire et à la région Rhône-Alpes. Enfin, merci à Seb Gnecchi pour ses entraînements tiptop et à François Petit pour me permettre d’allier escalade à haut niveau et vie professionnelle.

 

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« Cerro Torre, pas l’ombre d’une chance » avec David Lama

23 Mar

A 19 ans seulement, le multiple champion d’Europe et des catégories jeunes David Lama est considéré comme l’enfant prodige de l’escalade. Ayant pratiqué surtout en salle, son expérience dans les montagnes reste limitée. Cela ne l’em- pêche pas d’envisager l’ascension libre du légendaire Cerro Torre, l’une des plus belles montagnes du monde mais aussi l’une des plus difficiles à escalader.

Aucun grimpeur n’est parvenu à vaincre en escalade libre l’«Aiguille de granite» du merveilleux panorama montagneux de Patagonie, un défi considéré comme irréalisable. C’est précisément ce qui a motivé David Lama et son compagnon d’escalade. Mais ils voient leur rêve s’évanouir lorsque leur premier essai finit par un désastre. David n’est en effet pas de taille à affronter la mon- tagne et les caprices de la météo. Pire encore : le milieu international de l’alpinisme s’insurge contre les dispositifs de sécurité supplémentaires installés dans la paroi par l’équipe de tournage.

David comprend alors que s’il veut vaincre le Cerro Torre, il devra non seulement améliorer ses performances d’alpiniste mais aussi s’impliquer davantage au niveau de l’équipe et du tournage.

 Synopsis 

Avec en toile de fond les paysages à couper le souffle de la Patagonie, David Lama, jeune prodige de l’escalade, s’attaque à la fameuse face Sud-Est du Cerro Torre, mon- tagne dont il se dit encore aujourd’hui qu’elle est la plus difficile au monde.

Aucun homme n’a jamais escaladé ce pic de granite en escalade libre. Mais c’est précisé- ment ce que David et son partenaire Peter ont l’intention de faire. Alors qu’il est confronté à des défis naturels et logistiques, David finit par réaliser la vraie nature de son projet et se rend compte de ce qu’il lui faudra accomplir pour atteindre le sommet.

Entre amitié et dépassement de soi, ce documentaire nous plonge dans le par- cours initiatique d’un homme à travers la pratique de l’escalade.

A l’occasion du festival Montagne en Scene, le film documentaire sera diffusé dans 11 villes en France. L’avant-première aura lieu à Paris au Grand Rex le 31 avril en présence de David Lama.

 Interview de David Lama 

Comment t’est venue l’idée de ce projet ?

J’avais bien sûr déjà entendu parler du Cerro Torre et de l’histoire de la Voie du compresseur. Je suis tombé par hasard sur une photo du headwall sur laquelle je pouvais voir des structures situées à droite de la voie initiale et qui semblaient pouvoir être escaladées. J’étais à la recherche d’un défi, d’un projet dont le résultat n’était pas garanti car cela ne me motive pas vraiment de faire des as- censions plus courtes qu’il est probable de réussir. J’ai plutôt tendance à préférer les situations où le «facteur de l’impossible» joue un rôle important.

Existe-t-il un lien entre tes ambitions et le fait que tu avais un physique différent de celui des autres enfants autrichiens ? Est-ce pour cela que tu voulais faire tes preuves ?

J’ai découvert l’escalade très jeune mais je ne sais pas si cela a un quelconque rapport avec mon physique. Je pense que si beaucoup de personnes aspirent à faire de grandes choses ou à devenir célèbres, c’est parce qu’elles ont l’impression de laisser des traces de leur passage sur terre. C’est peut-être une sorte de quête de l’immortalité ou quelque chose de ce genre. En ce qui me con- cerne, j’étais très attiré par les premières ascen- sions. Avoir en premier l’idée d’une ascension et la réaliser est à mes yeux un héritage beaucoup plus important que la stricte performance athlé- tique.

Beaucoup ont critiqué les pitons et les cordes fixes utilisés par l’équipe de tournage, qui ont été retirés par la suite. Cela n’aurait-il pas été beaucoup moins compliqué de simplement es- calader la voie, sans équipe de tournage et lo- gistique ?

Oui, cela aurait certainement été beaucoup plus simple. Il est toujours plus facile de ne se préoc- cuper que de soi-même. Mais j’ai vu dans le projet de film une occasion unique et il était clair pour moi que cela pouvait donner naissance à quelque chose d’extraordinaire. L’ascension libre a toujours été ma priorité, donc si le projet de film avait été interrompu, cela n’aurait pas changé mes plans. Ce qui m’importait, c’était que le film documente fidèlement ce que nous avons vécu là-haut. Pen- dant l’escalade, le poids supplémentaire (les caméras, le matériel de son, les batteries etc.) était parfois agaçant. Mais en regardant le film main- tenant, je pense que cela en valait vraiment la peine.

david lama

Quels sont votre meilleur et votre pire souvenir ?

Le meilleur moment a clairement été lorsque Peter et moi avons atteint le sommet pour la première fois en 2011. Cela a vraiment été déterminant pour moi. Nous étions sur le point de rentrer chez nous et il nous semblait que nous n’allions pas atteindre le sommet pour la deuxième année de suite, sans parler de le gravir en ascension libre. J’avais l’impression d’être dos au mur. C’est notamment pour cela que nous avons fait tout notre possible, même si tout semblait s’être ligué contre nous. Lorsque nous avons atteint le sommet, cela n’im- portait plus pour moi de savoir si nous avions es- caladé en libre ou non, je trouvais simplement cela fantastique d’être là-haut. C’est à ce moment que j’ai eu un déclic et j’ai commencé à moins penser comme un grimpeur et plus comme un alpiniste. Le moment le plus difficile, en ce qui me concerne, fut de devoir gérer la controverse concernant les pitons après la première année. Ce n’est pas moi qui les avais installés, et je n’en avais pas non plus besoin pour mon ascension libre. Cependant, tout le monde de l’escalade semblait en colère contre moi. C’était une situation difficile à gérer. Peut-être pas tant le fait que quelqu’un était furieux contre moi, mais plutôt le fait que je ne comprenais pas pourquoi. Cela m’a pris un certain temps pour ad- mettre que c’était également ma responsabilité. Si je n’avais pas choisi de réaliser mon projet d’as- cension libre, il n’y aurait pas eu de projet de film. J’étais donc finalement aussi responsable du bon déroulement des opérations.

Tu étais concentré en permanence sur l’escalade. Comment cela s’est-il passé pour toi au niveau du tournage et avec l’équipe qui t’accompagnait ?

Parfois je me demandais si le film me montrerait tel que je le souhaitais. Mais j’avais une grande confiance en Philipp (Manderla), Guido (Kruetschnigg) et Dirni, le réalisateur.

Les membres de l’équipe Red Bulls Athletes Special Projects, qui me suivent depuis des années, étaient eux aussi bien obligés de me faire confiance. Les perspectives n’étaient pour- tant pas réjouissantes, surtout la première année. Toutes les personnes concernées ont quand même continué jusqu’au bout à croire en moi et au projet.

Les personnes qui faisaient partie du projet d’escalade libre du Cerro Torre ont, comme moi, évolué en même temps que le projet. Des liens d’amitié solides se sont tissés au fil des ans et j’ai beaucoup apprécié les moments passés au mon- tage. Je suis vraiment très content du film.

Quels sont tes projets pour l’avenir ?

J’envisage d’escalader les grandes montagnes aux quatre coins du monde. Ce qui m’intéresse, ce sont les défis qui n’ont pas encore été relevés. Je viens de rentrer du Pakistan. Peter et moi sommes allés là-bas examiner la face nord-est du Masherbrum qui n’a encore jamais été escaladée. Pour l’instant, cette paroi représente mon plus grand défi en alpinisme. Même si je suis persuadé que l’escalade est faisable, c’est un quand même un pari très difficile, un autre projet de longue haleine et aussi passionnant que le Cerro Torre.

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Le « Méga Bloc Qu’On Teste » revient cette année le samedi 12 avril 2014

23 Mar

Il s’agit d’un open de blocs ouvert à tous.

Le concept évolue un peu cet année :

· Une quarantaine de blocs
· 1h45 de compétition réservée aux jeunes (poussins, minimes benjamins) *
· 2h30 pour les adultes
· Des finales pour les adultes
· Des animations toute la journée
· Snack toute la journée et burgers maison le soir
· Une soirée de clôture avec vidéos, slack line et musique live.

En plus des podiums par catégorie dans le « contest adultes », nous récompenserons la plus grande suite de blocs quel que soit le niveau.

*Un « contest jeunes » s’adressant exclusivement aux enfants nés entre 2001 et 2006 de 12h30 à 16h15 (inscriptions et podiums compris).

Les modalités de la compétition et du classement seront les mêmes que ceux de la « coupe des minots » pour simplifier les choses. Cependant cet évènement n’entrera pas dans le classement général de la « coupe des minots ». Toutefois, les jeunes qui désirent participer au « contest adultes » avec leurs parents sont les bienvenus. Ils feront l’objet d’un classement à part.

Le « contest jeunes » se terminera à 16h15 pour ne pas retarder les clubs qui viennent en transport collectif.

Vous retrouverez toutes ces informations sur le site internet officiel de la compétition 

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Championnats de France de bloc espoirs 2014

22 Mar

Retrouvez ci-dessous toutes les infos concernant les championnats de France de bloc espoirs 2014 qui se déroulaient à Poses cette année.

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Votre avis sur une future marque de fringue dédiée à la grimpe

22 Mar

Voici le communiqué de Nicolas Roeser dans la perspective de créer une nouvelle marque de fringue:
« Nous sommes en train de diffuser une enquête dans le cadre de la naissance d’un projet de création d’une marque de vêtements pour la pratique de l’escalade, No Siesta.
Nous invitons tous les grimpeurs, que vous soyez débutants, confirmés ou experts, à participer à cette étude. Nous avons besoin de votre avis afin de vérifier que nous travaillons dans le bon sens et que notre projet rencontrera le succès ! »

Vos données seront confidentielles, resteront internes à No Siesta.

L’étude de marché est accessible à cette adresse :
https://docs.google.com/forms/d/1dUodAfEmrl4iq6BqGXSdVX0VV21vkjsojwL2QzIiYTo/viewform

Merci d’avance, et n’hésitez pas à visiter et partager la page No Siesta.

Pour nous contacter, c’est ici : mail@nosiesta.fr
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