À 72 ans, Ian Elliott repousse les limites de l’âge en escalade !

Il n’a pas grandi sur les compétitions, ni enchaîné des voies extrêmes à 20 ans. Pourtant, à 72 ans, Ian Elliott grimpe encore avec passion et détermination, prouvant que le plaisir de grimper n’a pas d’âge.

Immersion aux côtés de ce grimpeur iconique !

Et si vieillir ne signifiait pas ralentir ? L’Australien Ian Elliott, 72 ans, nous prouve le contraire. Grimpeur passionné, il a découvert l’escalade sur le tard, à plus de 50 ans. Deux décennies plus tard, il continue de repousser ses limites sur le rocher, et signe des performances bluffantes pour n’importe quel grimpeur… peu importe l’âge !

Né dans une famille d’agriculteurs de la Sunshine Coast, Ian a mené une carrière dans l’exploration minière avant de tomber amoureux de l’escalade. Ce n’est qu’à la cinquantaine qu’il enfile pour la première fois un baudrier. Depuis, il ne l’a plus quitté.

Son terrain de jeu favori ? Le mythique secteur de Coolum Cave, une falaise réputée pour son exigence. C’est là qu’il a réalisé son projet le plus ambitieux : une voie cotée 7c, juste avant ses 70 ans. Un exploit physique, mais surtout mental, à une époque de la vie où beaucoup raccrochent (ou ont déjà raccroché) les chaussons.

Coll. Elliot

Le court-métrage “IAN”, signé Matt Raimondo, retrace cette histoire hors norme. On y découvre un grimpeur humble, profondément connecté à la nature, mais aussi un partenaire de grimpe attentionné, admiré pour sa générosité. S’il reconnaît que l’âge amène son lot de défis (baisse du cardio, besoin de récupération), Ian les compense par une approche stratégique : respiration, repos, et surtout une détermination sans faille.

L’âge n’est pas vraiment un obstacle à l’escalade. C’est surtout une question de faire ce que l’on a envie de faire.

— Ian Elliott

Toujours en mouvement, toujours motivé, Ian Elliott incarne une idée simple mais puissante : il n’est jamais trop tard pour se dépasser. Un message inspirant pour tous les grimpeurs — et bien au-delà…