Thomas Ferry: Relation entraîneur-entraîn(é)e, quand la flamme s’éteint
Respect, passion, admiration, c’est parfois la recette d’une réussite, d’une performance. Si dans les médias on parle peu des entraîneurs, c’est un sujet omniprésent dans le milieu sportif, et une thématique souvent abordée en préparation mentale (si si, il y a des conflits).
Un entraîneur peut être choisi, rêvé, voulu, imposé, évident, ou parachuté par défaut au milieu d’un groupe. Bénévole, salarié, indépendant, peu importe… sa raison d’être : atteindre les objectifs fixés par une équipe, un club, un sportif, une ligue.
Evidemment, en commençant l’article de cette manière, ça sent le traquenard ! Pourtant, je commence à recevoir quelques mails sur la relation entraîneur / entraîné(e). Si j’essaie d’y répondre humblement à chaque fois, je me dis aujourd’hui qu’il est peut-être temps d’aborder le sujet, avec un angle qui me tient à cœur. Forcément. L’humain.