Yearly Archives: 2016

Il restait les critères de sélection pour les équipes de France jeunes des trois disciplines et le combiné seniors à publier, les voici : Critères de sélection 2016

Rappel: Dans la perspective des sélectifs pour les équipes de France de bloc (jeunes et seniors) qui auront lieu au pôle France de bloc à Fontainebleau (Karma), la zone de travail réservée au pôle est ouverte toute l’année aux 30 meilleurs grimpeurs du classement national bloc, à la condition d’en faire la demande préalable. Pour cela, il suffit de contacter au minimum 48h à l’avance Rémi SAMYN, responsable du pôle France : r.samyn@ffme.fr

Dans l’attente d’informations, les critères pour l’équipe de France Handi escalade seront publiés ultérieurement.

Toutes les infos sur le Haut Niveau et les équipes de France sont disponibles ici.

6 essais. C’est en seulement 6 essais dans la séance qu’Alban Levier a enchaîné son 8b+ du jour. En effet, le jeune membre de l’équipe de France de bloc a pris l’habitude de croiter plusieurs blocs extrêmes dans la semaine. Ce week-end, profitant du stage avec l’équipe nationale de difficulté et de bloc, il avait réalisé « L’apparemment assis » 8b+. 

Aujourd’hui, il rajoute donc à son carnet de croix « La force du destin », un autre 8b+ situé à Franchard Ermitage. Un bloc très exigeant que seuls trois grimpeurs ont enchaîné avant lui. La première revenait à Nalle Hukkataival en 2007.

On commence cette news par Silvio Reffo qui vient de réaliser sa 10ème voie dans le 9ème degré en Slovénie à Misja Pec: « Sansjki par extension », 9a.

« Encore un bon week-end de grimpe à Misja Pec, j’avais déjà essayé cette voie l’année dernière, mais sans succès jusqu’à hier. Ce 9a est vraiment différent des autres voies dures que j’ai réalisé: court et très intense ».

On poursuit cette news avec la jeune italienne Laura Rogora, qui du haut de ses 14 ans vient d’ajouter deux 8b+ à son carnet de croix: « piccoli geste » et « viaggio=infinito » à Sperlonga (Italie). La voila donc à six 8b+ ou plus, et notons tout de même qu’en 2015 elle terminait 3ème des championnats du monde jeunes à Arco, à suivre de près donc!

• Crédit photo: Luka Fonda

Communiqué:

« Dans notre liste (bien chargée !!) des résolutions de 2016, on s’est dit que ça faisait longtemps qu’on avait pas passé une petite soirée avec vous !!!

Alors c’était dans les tuyaux depuis un petit moment, mais c’est officiel, on se refait un Fight tous ensemble le jeudi 28 janvier 2016 !!!!!!

Vous connaissez le principe, une soirée grimpante autour d’un contest loufoque !!! 

Back To The Fight, c’est 30 blocs de qualifications, des finales grimpantes pour les meilleurs, mais aussi de nombreux lots à gagner, une épreuve décallée, de la musique, une ambiance de malade et une soirée dont on se rappellera (surtout le lendemain matin !!)

[THEME]

C’est vous qui choisissez !!! Votre meilleur souvenir, votre plus beau déguisement parmi les 70 Fights de B’O1 ou B’O2)

Les meilleurs déguisements seront bien sûr récompensés !!

[PROGRAMME]

19h30-21h30 : contest à essais illimités sur 30 blocs de qualifications+ épreuve Fight en parallèle ! 

21h30-22h : tirage au sort parmi les participants de l’épreuve Fight pour gagner moults cadeaux !!!

A partir de 22h : finales hommes et femmes sur 3 blocs de finale

 Plein d’autres surprises (du coup je ne peux pas vous les dire…) et grosse ambiance en perspective !!!

 Renseignements et inscriptions à l’accueil de votre salle Block’Out la plus proche, directement auprès de Camille ou au 01 30 75 13 27 !

Ce week-end les équipes de France de difficulté et de bloc étaient réunies à Fontainebleau pour un stage en commun histoire de motiver toutes les troupes. Et visiblement ça a payé puisque le bloqueur en forme du moment, Alban Levier, vient de réaliser une nouvelle belle coche à L’envers d’Apremont avec « L’apparemment assis », 8B+ bloc. 

Voici son commentaire:

« Depuis le début du weekend on a un stage avec l’équipe de france de bloc et de diff réunies. Aujourd’hui, après avoir fait une séance de bloc au pôle à Karma, je suis allé sur ce bloc. Les conditions étaient très bonnes, enfin, la météo a perdue quelques degrés. Du coup après avoir mis une heure et demi a recaler les différentes sections du bloc les premiers runs étaient prometteurs, et puis ça l’a fait. »

• Crédit photo: Clément Lechaptois

Bienvenue du côté obscur !!

Finis les consensus et au diable la polyvalence, avec le Furia, Scarpa dévoile la face cachée de la force : la souplesse.

Scarpa livre un modèle haut de gamme voué à la performance en ayant fait des choix forts et assumés.

Bloc, compétitions, voies déversantes… voilà le programme annoncé par la marque italienne (si si… 😉 ).

Au déballage, l’aspect visuel nous est apparu assez quelconque. Un chausson essentiellement vêtu de noir qui ne tape pas vraiment à l’œil. Mais dès qu’on le prend dans les mains, on se rend rapidement compte que ce n’est pas un chausson comme les autres.

Avant même de l’enfiler, la souplesse du chausson semble énorme, et selon le constructeur il s’agirait d’ailleurs du chausson le plus souple du marché. Nous l’avons testé pour voir ce qu’il avait vraiment sous le capot ! Sommes-nous tombés sous le charme pour de meilleurs lendemains ?

Le Furia est construit sur les mêmes bases que son cousin le Booster S. Plutôt de bonne augure donc… Le chausson est très facile à enfiler grâce à sa large ouverture et se verrouille à l’aide de deux scratchs performants et résistants dans le temps. Il faut cependant noter un volume de pieds très fin qui ne conviendra pas à tout le monde. Après mesure, c’est plus d’un demi-centimètre qui sépare le Furia d’un Instinct VS.

Une fois à l’intérieur, le confort est là, il n’y a pas de doute, mais tout est relatif. En effet, le revêtement intérieur n’est pas toujours très agréable au contact de la peau, et certaines coutures un peu trop présentes. Mais on vous rassure, une séance de pan ne se fait pas dans la douleur, et on peut garder les chaussons aux pieds un bon moment avant d’envisager l’amputation !

Le Furia est logiquement doté de la gomme Vibram XS Grip 2.  Une gomme tendre donc, et très adhérente. Et afin de garantir des sensations immédiates, ce n’est pas 3,5mm de gommes mais seulement 3mm qui accompagnent le Furia. Assurez-vous donc d’avoir la technique de pieds digne de Dark Vador et pas celle de Choubaka sinon vos Furia ne vont pas durer bien longtemps…

Le Furia est un chausson « haute performance », très asymétrique, cambré et d’une souplesse affolante. A la première séance on pose les pieds partout, n’importe comment en profitant de son effet ventouse. Puis on commence à comprendre et on prend ses marques. Le Furia n’est pas qu’une machine à mettre les pieds à plat. Son asymétrie prononcée et son talon qui pousse très fort permettent de charger les petites prises et autres grattons avec une préférence pour le devers.

Du coup, en bloc ou dans des voies déversantes, le Furia a de bons arguments à faire entendre. Véritable machine sur bossette et autres plats, le Furia n’en reste pas moins précis et capable de charger des petites prises. Son extrême souplesse distille énormément de sensations.

La pointe et le talon du furia sont complètement recouverts de gomme très adhérente et fine qui, une fois encore, distille beaucoup de sensations. Trop pour certains qui lui reprochent de ne pas assez protéger le pied. Chaque position se défend et on ne va pas reprocher à Scarpa d’être allé au bout de son projet. En revanche, le petit bourrelet présent sur le talon pour soi-disant aider au crochetage talon ne fera pas que des heureux. Il y a les fans, et il y a les autres. Nous, nous faisons plutôt partie des autres, qui ont du mal à apprécier ce genre d’originalité pas toujours très efficace, mais après tout pourquoi pas !

Conclusion: Le furia est donc un chausson atypique dans le bon sens du terme.Un chausson tourné vers la performance pure et qui ne fait aucune concession. Un chausson reservé à une élite qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle cherche en se tournant vers le Furia. A ne pas mettre dans toutes les mains !!!

Alors qu’il venait à bout il y a quelques jours du 8C bloc « The Game » à Boulder Canyon (Etats Unis), Jimmy Webb termine son séjour par une nouvelle belle coche avec « Barrel Rider », 8B bloc qu’il enchaîne flash. 

Retour à la maison désormais, avant les championnats nationaux puis direction Fontainebleau pour 6 semaines. On vous tient au courant bien sur! 

Ce samedi 16 janvier, Chalon/ Saone accueillait la 8ème édition d’Escalade et Sauce Piquante. Un rendez-vous devenu incontournable pour les Bourguignons et toutes les régions alentours puisque l’événement affiche complet chaque année avec 350 grimpeurs dans les starting-block. 

Au programme, de l’escalade, sans classement, juste pour le fun, entre potes, juste pour le plaisir de se défier. Avec énormément de bloc d’ouverts, dans tous les styles, il y a de quoi se brouter les doigts de 13h à 23h (pour les plus acharnés), et même avec 350 inscriptions on n’a pas le sentiment de se marcher dessus. Cette année, une arche en moins pour un panneau de dalle en plus, et la salle paraissait plus aérée. Bref, si vous voulez vous en mettre plein les bras, cet événement est fait pour vous! 

Et puis il y a tous les à côtés qui caractérisent ce rendez-vous complètement déjanté: un nouveau thème chaque année avec des déguisements en tout genre (cette année, le thème « cosmique »), des DJ toute la journée qui animent la salle, des démonstrations en tout genre (Jumpline, trapèze, …), des défis organisés, et bien entendu, comme chaque année, la possibilité de se faire masser entre 2 blocs! Le luxe!

Dans le genre déjanté qu’on ne voit pas ailleurs, nous avions par exemple cette année un bloc avec des prises aimantées qu’il fallait déplacer pour avancer, ou encore un défi vélo (à la verticale bien sur) où le système vous permettait de pédalait et de monter à la verticale jusqu’au plafond de la salle. Eh oui on ne manque pas d’idées à Sauce Piquante, chaque année des nouveautés à découvrir…

Le soir venu, apéro party, suivi d’un petit repas à la bonne franquette histoire de se retrouver et de parler de la journée et du monde de l’escalade. En résumé, ne ratez pas l’édition 2017, le rendez-vous est déja pris!!

A suivre prochainement, un portfolio complet de la journée ainsi qu’une vidéo pour vous faire (re)vivre la journée au plus près. 

Jimmy Webb, pourtant habitué a plier des projets aux 4 coins de la planète à la vitesse de l’éclair, a du sortir les gros moyens pour venir à bout de l’un des blocs les plus durs des Etats-Unis, « The Game » en 8C à Boulder Canyon. Un bloc ouvert pas Daniel Woods, et déjà répété par Carlo Traversi et Jon Cardwell. 

« The Game » lu aura demandé pas mal d’efforts, et c’est finalement juste avant la fin de son trip qu’il en viendra à bout avec des conditions bien froides… 

• Crédit photo © Isabelle Faus

Réservez votre soirée du Jeudi 21 Janvier! En effet, rendez-vous dans la salle d’escalade Cortigrimpe à Annecy pour une soirée spécial test matos, consacré à la gamme de chaussons Boréal. Vous aurez l’occasion de grimper avec une multitude de modèles, disponibles exprès pour l’occasion!

Il y a 3 semaines, Alban Levier venait à bout de l’intégrale de « Quoi de neuf » 8C bloc au toit d’Orsay. Aujourd’hui, il réalise une nouvelle première ascension, toujours au toit d’Orsay: « La force« . 

« Il représente l’enchaînement de Quoi de Neuf (8c bloc) + Morpheus (7c bloc) et rajoute donc 5 mouvs bien durs à ce 8c réalisé il y a bientôt trois semaine. Concernant la cotation, à mes yeux empiler 30 mouvements c’est faire de la voie du coup 9a proposé. Quelqu’un d’intéressé ? » (Facebook d’Alban)

Samedi dernier, aux alentours de 5h du matin, un éboulement massif a effacé le pilier nord-ouest du Granier (1 933m) en Chartreuse.

Personne n’y a assisté en direct et pour cause, l’éboulement s’est produit samedi dans l’obscurité du matin, aux alentours de 5h. Le résultat n’en est pas moins impressionnant de visu, lorsqu’une éclaircie laisse entrevoir l’énorme cicatrice dans le pilier nord-ouest mais aussi une partie de forêt ravagée en contrebas. L’essentiel des débris a terminé sa course versant Entremonts, bien loin de toute habitation ou de voie de circulation.

• L’article complet à lire sur Montagnes-Magazine
• Crédit photo: Alain Lenfant

Après plus de 10 ans de suivis à distance en préparation physique (en escalade !), Prepagrimpe propose désormais un service de planifications à télécharger.

D’une préparation de « découverte » à un entraînement de plusieurs mois pour faire tomber les croix en bloc, plusieurs options sont possibles !

Niveaux requis, exercices adaptables, peu de matériel, tout est fait pour que vous progressiez efficacement, de manière qualitative, en laissant une large place à la grimpe. Cette formule conviendra parfaitement aux grimpeurs qui n’ont pas forcément d’échéances précises, et qui souhaitent avancer à leur rythme.

Pour en savoir plus, c’est ici !

3^e étape du Rock Tour le 9 janvier 2016 à Karma :

• 130 participants prêts à s’amuser, se dépasser, s’arracher, à gagner, mais aussi à encourager, admirer, participer et surtout Grimper.
• 30 blocs de qualifications : de la dalle, du toit, du devers, des Run and Jump, des jetés… répartis entre le 3 et le 7c.

Durant les 3 heures de qualifications, les 30 blocs ont été sortis par 6 mecs prêts à en découdre lors des finales, lorsque la première femme en empoche 25. Bravo ! En moyenne chacun a sorti 21 blocs. Bref une belle séance pour tous.

Les 6 finalistes femmes et hommes sont :

Finale 1 :

Une belle dalle avec un départ en run and jump suivi de pas d’équilibres qui résisteront aux assauts de toutes les concurrentes mises à part Camille qui sort au premier essai.

Chez les hommes, tout commence par un jeté à 2 mains, qui posera pas mal de problème à Maël. Guillaume sort au premier essai, Pascal et Yohann au deuxième. Théo quant à lui fait 3 beaux runs qui ne manqueront pas de l’épuiser, mais ne tiendra pas les plats des derniers mouves. Ludo, rentre le jeté au troisième essai mais tombera dans le haut.

Finale 2 :

Pendant que les filles ont fort à faire avec un bloc bien physique, les mecs s’arrachent dans un bloc bien technique. Guillaume et Pascal enchainent au premier essai, Antoine et Maël au second. Théo a fait le show en sortant le bloc au taquet à son 3^e essai.

Les filles font également le plein puisque 5 sur 6 top le bloc avec plus ou moins d’essais.

Finale 3 :

Le bloc trois est l’objet de tous les combats chez les femmes. Pendant que Camille fait preuve d’autorité en sortant son 3^e bloc à vue, les autres finalistes réalisent des essais magnifiques et finissent par toute empocher cet ultime passage.

Chez les hommes Guillaume talonné par Pascal ne flanche pas et fait carton plein avec également 3 blocs à vue. Pascal et Yohann sortent au premier essai également. Dans ce bloc Théo paie le prix de ces nombreux essais dans les 2 premiers passages. Ludo, peut-être victime d’un mouve finale un brin morpho n’arrivera pas à toper ce bloc.

Le classement final est donc le suivant :

Ensuite la Biosarde a coulé à flot jusqu’à minuit puis pour faire face à la fermeture de Karma, nous avons été nombreux à nous replier dans Fontainebleau pour continuer la soirée.

Toute l’équipe organisatrice du Rock Tour tient à remercier les participants et les spectateurs d’avoir participer à faire de cet évènement un beau moment.

Remarques :

Et oui, rien n’étant jamais parfait, vous nous avez fait remonter quelques points d’amélioration que nous mettrons en place dès la prochaine étape :

• 3 heures de qualifications visiblement ne suffisent pas,
• Nous ferons plus attention afin qu’aucun bloc ne se croise et augmente l’attente,
• Nous serons encore plus vigilants sur le nombre de participants.

Enfin une erreur de classement s’est produite lors du podium. Sur les photos vous ne verrez pas Agathe Clément qui a été victime de mon incapacité de faire une addition. Encore une fois je m’en excuse et remerci à Agathe pour sa compréhension.

Les 06 et 07 Février 2016 la dernière Coupe de France de bloc aura lieu à Chambéry.

Dernier rendez vous des bloqueurs avant les championnats de France, cet événement sera l’un des moments forts de la saison avec un très grosse participation annoncée.
Attention, nous pourrons être amenés à limiter les inscriptions.

Au programme deux jours de grimpe avec :

• les finales senior et minimes en nocture le samedi soir avec DJ Momo aux platines et Christopher au micro ! 
• Les finales cadets et juniors le dimanche après midi avec retransmission vidéo sur grand écran…

L’équipe d’ouvreurs, Julien Gras, Kevin Arc, Eric Chanourdie, Laurent Thévenot… ça va envoyer du lourd .. et du pas banal !

Le club propose des solutions économiques pour l’hébergement.

Le Week-end prochain, 16 janvier, le traditionnel tendez-vous d’Escalade et Sauce Piquante aura lieu à Chalon sur Saone.

Et pour rappel, l’événement est archi complet, aucune inscription ne sera possible sur place, et les spectateurs ne seront pas accueillis...

Pour l’édition 2016 d’Escalade et Sauce Piquante, déposez votre soucoupe volante sur l’ovniport à Chalon/Saône et préparez vous à vivre une expérience Extra Ordinaire…

Remplissez votre sac à pof de poudre Extra-cosmique, enfilez vos chaussons Extra-bioniques, serrez votre baudrier Extra-galactique et découvrez cet univers   Extra Piquant d’Objets Grimpables Non Identifiés  développés par le Laboratoire « Extra Vagant » de la Sauce Extra Piquante.

Et en exclusivité le teaser de l’événement…

https://vimeo.com/151282752

Cette année 2016, Stefano Ghisolfi l’espère remplie de joie… En effet, depuis quelques semaines maintenant, le meilleur grimpeur d’Italie s’attèle à un projet d’envergure: enchaîner le bloc qui est probablement le plus dur du monde: « Gioia », 8c+. Par chance pour Stefano, celui-ci se trouve à Varazze, en Italie!

Ce bloc a été ouvert en 2008 par Christian Core, puis répété par Adam Ondra trois ans plus tard et Nalle Hukkataival en 2014. 

« Gioia », un bloc extrême composé de 8 mouvements seulement, sur de toutes petites arquées où il faut envoyer de gros mouvement bien physique. Cette ligne se divise en fait en deux parties: 5 premiers mouvements très difficiles, cotant au-delà du 8b+ viennent se connecter à 3 derniers mouvements qui sont en fait la version en départ debout et qui valent déjà 8b.

Le 28 décembre, Stefano Ghisolfi a répété la version debout, qu’il avait déjà enchaînée il y a quelques années. Puis, il a travaillé les premiers mouvements. Maintenant, l’italien a réussi tous les mouvements, il ne lui manque plus qu’à enchaîner l’ensemble du bloc sans tomber. La croix ne saurait tarder…

« Travailler les mouvements de « Gioia » est très différent du travail d’une voie! Au début, chaque mouvement semble impossible. J’ai été capable de tous les faire juste après quelques jours de travail. Après ça, il semblait impossible de connecter 2 ou 3 mouvements entre eux, ils sont très près de ma limite. Mais maintenant je peux connecter les 5 mouvements du début avec ceux de la fin, je dois juste grimper l’intégral sans tomber. Facile à dire, difficile à faire. » S.G

Vous a-t-on déjà suggéré de mettre de la glace après une entorse ou une blessure? Est-ce votre premier réflexe, la cryothérapie si vous vous blessez ou si votre enfant se fait mal?

L’usage de la glace pour traiter une blessure est très répandu, le fameux protocole RICE (en français : Repos, Glace, Compression, Élévation) est utilisé par presque tous les thérapeutes et les médecins. Mais est-ce que cette méthode a vraiment ses preuves ou est-elle utilisée par habitude et de manière empirique?

Des études publiées récemment démontrent que la cryothérapie n’est peut-être pas une solution si efficace que ça.

Dossier à lire ici

Jakob Schubert vient de venir à bout de son second 9b aujourd’hui, en Espagne, après « le plus gros combat de sa vie »! La voie n’est autre que « Planta de Shiva », ouverte par Adam Ondra en Avril 2011 et située à Villanueva del Rosario, près de Malaga. Depuis, personne n’avait réussi à répéter cette ligne de 45 mètres. Pour cause, il faut d’abord venir à bout d’une première partie cotant déjà 8c/+ pour ensuite s’attaquer à une seconde section toute en résistance.

Après « Fight or Flight », l’autrichien enchaîne donc sa deuxième voie en 9b, quasiment un an jour pour jour. A croire que Jakob aime bien se mettre en confiance en démarrant une nouvelle année par un 9b!

Il rentre dans le club très fermé des grimpeurs comptant plus d’un 9b à leur affectif, après Chris Sharma, Dani Andrada et Adam Ondra.
L’année 2016, un grand cru?

Photo: Elias Holzknecht
Source: UKC

Il y a quelques semaines, la rédaction de la Tl²B s’insurgeait à propos de la destruction d’un ancien abris de carrier au Rocher Brûlé. Si l’on ne peut pas affirmer avec certitude que cette dégradation du patrimoine culturel de Fontainebleau est dû à la volonté et à l’action de quelques grimpeurs, le dévers ainsi dégagé a permis l’ouverture de 3 voies de haut niveau. Ce phénomène n’est pas nouveau et a suscité pas mal de réactions positives ou négatives dans la communauté.

Comme contre le bricolage des prises dans les années 90, une douzaine de grimpeurs ont signé un Manifeste mis en ligne sous forme de Pétition que nous vous invitons à signer vous aussi. Il est traduit en anglais pour une plus large diffusion dans la communauté des grimpeurs de blocs !

• Plus d’infos sur la Tribune Libre de Bleau!

Depuis le 02 janvier 2016, fini les abonnements, place aux Packs ! Un service complet qui offre bien plus qu’un accès aux salles d’escalade.

Aujourd’hui, quand vous entrez dans une salle d’escalade, outre la qualité de l’accueil, les services proposés vont bien au-delà de l’accès aux murs d’escalade. 
Vous bénéficiez parfois de remises en shop, de conseils avisés, vous êtes convié aux soirées et autres événements de la salle,…Bref, un ensemble de services qui font que votre abonnement vaut bien plus qu’un abonnement.

Ainsi, Altissimo, leader français de l’escalade indoor, a créé et commercialise des Packs, ce qui constitue une première en France. Les Packs Altissimo valorisent la pratique et les prestations proposées, ils informent clairement le client des services associés dont il bénéficie. A chaque client son Pack !.

• 
  A propos des Packs Altissimo : http://www.altissimo-escalade.com/a587/1191-nouveaute-2016–les-packs-altissimo.html 
• A propos d’Altissimo : http://www.altissimo-escalade.com/

Hugo Parmentier, 17 ans et membre de l’équipe de France espoirs, revient pour vous sur une petite semaine inoubliable en Espagne.

Après Noël direction l’Espagne! Avec pour objectif de cuire au pied des falaises… et de grimper quand même. Après 19 heures de voyage ( blablacar + bus + stop) nous voilà entourés de grimpeurs au camping de Siurana!! Il règne ici une ambiance incroyable, les vans au bord de la route, les cris des grimpeurs et le choc des bières au bar nous immerge dans un autre monde! Adieu les bouchons parisiens.

Crédit photo: Anthonin Valfredini

L’équipe au complet (Eline, Martin, Antonin et moi), nous attaquons le lendemain à Can Pigui Pugui! Un secteur au soleil gavé de voies magnifiques et bien ardues. Bien que surmotivés, l’échauffement nous aura serré la vis et montré qu’ici les voies se méritent. Ce jour là j’enchaîne quelques voies dont un 7b (le plus dur de Siurana pour sûr) et un magnifique 7c+ à la nuit , merci pour le flash! Je laisse mes dégaines dans  » El membre » 8c, court et à doigt, en espérant le faire un autre jour.

Crédit photo: Guillermo Dominguez

Jour suivant, direction El Pati! Wow quel mur! Encore mieux qu’en vidéo 🙂 Cette journée s’annonçait courte vu la fatigue du voyage et les mauvaises arquées de la veille. Mais en milieu d’après-midi, je me décide à aller dans « Kale borroka », un 8b+ long, trop long qui remonte une fissure déversante super impressionnante . Je prends lentement de la hauteur dans la douleur et en récupérant tant bien que mal, dans le but d’un run « a muerte » sans aucun espoir. Mais les encouragements de mon assureur/ co-équipier s’ intensifiaient et me portaient tranquillement de repos en repos. Après un cri et trois arquées plantées, me voila à quelques mètres du relais à comprendre ce qui m’arrive « là il ne va vraiment pas falloir que je craque ». Et bim c’était fait! Juste improbable! Merci à mon acolyte pour ce moment incroyable et à toute l’équipe pour avoir créé l’atmosphère propice à cette croix!

Les jours suivants ont été moins fructueux mais tout aussi agréable. Avec du soleil et de bonnes tranches de rigolades! Malgré une nuit passée au pied de la voie, je devrai revenir pour « El membre ».

Nous avons pu rencontrer de bons grimpeurs, comme Hannes Puman, Ruben Firnenburg, Camille Masseran, un groupe de madrilènes juste géniaux, Gabriel Moroni (je lui ai même serré la main^^) ou Seb Bouin qui s’attaque à la Rambla, Venga!!

Un trip génial, qui s’est terminé avec tous les grimpeurs pour fêter la nouvelle année 🙂 Siurana on reviendra!

Merci à PlanetGrimpe, Butora et Block’Out pour leur soutien!!! Et au coach, aux copains, la famille aussi, sans vous ça serait bien trop compliqué 😉

Durant les vacances de Noël nous vous avions annoncé l’arrivée de l’équipe jeune Autrichienne à Oliana en Espagne, et Jessica Pilz avait déjà fait une jolie croix avec le 8c+ de « Mind Control ». Et elle n’en restera pas là, avec un 2ème 8c+ à la clé: « Joe Blau », au 4ème essai. 

Voici les principales voies enchaînées durant son séjour:

• Mind Control 8c+ (4ème essai)
• Joe Blau 8c+ (4ème essai)
• T-1 Full Equip 8b+/8c (2ème essai)
• La Marroncita 8b (flash)
• Mon Dieu 8a+ (flash)

Crédit photo: Andi Aufschnaiter 

Comme promis en cette rentrée 2016, Petzl a le plaisir de vous annoncer que la deuxième édition de J’irai Grimper Chez Vous © aura lieu en Alsace du 8 au 17 avril 2016 !

Amateurs de grès rouge, de conglomérat, de tarte flambée et de choucroute, rejoignez la caravane Petzl entre vignes et collines vosgiennes via la capitale européenne Strasbourg !

Planning complet, tarifs et ouverture des inscriptions en février 2016 ! A très vite sur JGCV©.

• Affiche by ben.bert

L’entraîneur national revient pour vous sur les performances 2015 des athlètes de l’équipe de France handi escalade. Ainsi que sur l’avenir de sa discipline.

• La suite à lire sur le site de la FFME!

Ashima Shiraishi va-t-elle de nouveau marquer l’histoire de l’escalade prochainement? C’est ce qu’on pourrait penser suite à son séjour au Japon durant les fêtes de fin d’année. 

En effet, la jeune grimpeuse est allée s’essayer au bloc de Dai Koyamada, « Horizon » en 8C. Et quand on connait Dai et ses nombreux blocs extrêmes, et qu’on sait que ce projet lui a pris 3 ans, on se dit que ce n’est pas une « fillette » de 14 ans qui va venir y serrer les prises…. Et bien si! Et Ashima n’était pas loin de l’enchaînement, elle chute 3 fois sur la dernière prise du bloc qui était mouillée. 

Une chose est sure, Ashima risque bien de nous surprendre à nouveau en 2016… A suivre!

Premier article de janvier, petite lecture de remise en forme, repas léger pour ceux qui ont lu le dernier article sur le blog de prépagrimpe (plat de résistance)… intéressons-nous donc au travail lesté. Certains d’entre vous vont d’ailleurs profiter d’un lestage festif naturel de fin d’année, quelle chance ! Alors, avant de culpabiliser, ou avant de prendre certaines résolutions, essayons de faire un tour d’horizon de cette thématique de poids.

Quels sont les avantages du travail lesté ? Quels sont les inconvénients ?

Éléments de réponse.

1.  En dehors des fêtes, où rajouter du poids ?

On pourrait donner au moins 2 définitions du travail lesté :

1 Le travail en musculation, avec des charges additionnelles (disques, barres etc.) conséquentes, souvent réalisé à l’aide de machines spécifiques. Lors d’un squat par exemple, on rajoute une masse considérable sur les épaules du sportif (Barre + disque).

2 Le travail spécifique, dans la discipline, à l’aide de différents produits : haltères peu encombrantes, gilets lestés, poids au niveau des chevilles, poignets etc. Souvent, le sportif ne fait que rajouter quelques « petits » kg, alors qu’en salle de musculation, on commence rapidement à plusieurs dizaines de kg supplémentaires. C’est souvent cette seconde définition qui est retenue pour « travail lesté ». Et bien évidemment, le gilet est à la mode. Certaines marques en ont fait leur fonds de commerce, en revendiquant des effets miraculeux : course à pied, fitness, cyclisme etc.

Alors, où placer ces produits ?

Lorsqu’il s’agit de bandes lestées (souvent un système de scratch), on peut facilement les placer au niveau des chevilles ou des poignets. En escalade, on voit parfois quelques grimpeurs (musclés) tenir des planches avec ce genre de poids au niveau des chevilles : 0.5kg, 1kg, 1.5kg en général. On parle souvent de bandes pour les chevilles, et de bracelets pour les poignets.

Le produit à la mode, c’est le gilet lesté, qui permet parfois d’aller jusqu’à 5kg supplémentaires (on trouve plus lourd, mais…c’est à vos risques et périls !). Il se porte comme un gilet de sauvetage (ça y est, il était trop sérieux, ça sent la métaphore bien subjective…), et peut tout à fait s’intégrer à une pratique « escaladistique » (mot qui n’existe pas, confusion dans le cerveau pour noyer le poisson. Par association d’idées, le cerveau relie « poisson » et « gilet de sauvetage », on sent l’article qui va chavirer…). Bref, essayons de garder le cap.

On trouve aussi quelques haltères légers (si si, c’est masculin…) mais celui qui arriverait à grimper avec me mènerait en bateau. Donc ces grosses pinces n’ont pas vraiment d’intérêt pour notre discipline (même si, en effet, il existe une histoire avec pince-mi et pince-moi dans…un bateau…).

Pour rester dans le domaine aquatique, on peut envisager de travailler avec des ceintures lestées (comme en plongée).

Enfin, combien sont ces grimpeurs qui reviennent de vacances en disant : « ouah je vais avoir la caisse, j’ai fait des grandes voies pendant 15 jours avec un sac à dos ». Donc le sac à dos est (pourrait être) un moyen de travailler lesté.

2. Les avantages du travail lesté

L’idée de base est « on ne peut plus simple » : si on peut réaliser une performance en étant plus lourd, on sera forcément meilleur en étant moins lourd. C’est une bonne vision sur le fond. Voici donc quelques avantages pour ce type de travail :

• Plus de poids, donc plus d’énergie dépensée (à condition de ne pas trop charger, certains gilets font quand même 60kg, et on risque de ne pas utiliser les mêmes sources d’énergie au niveau musculaire…).
• Le système cardiovasculaire est normalement plus sollicité. Le cœur s’emballe et la respiration s’accélère.
• La possibilité de garder les mains libres, donc de bouger sans véritable contrainte.

Ces arguments, souvent utilisés par les marques, ne sont pas faux. Mais ils ne sont pas non plus totalement vrais. C’est d’ailleurs aussi le cas de la musculation plus « classique » : faire une traction à un bras ne vous fera jamais progresser en escalade. Ce qui compte, ce n’est pas seulement ce que vous faites, mais ce que vous allez faire ensuite pour transférer les bénéfices dans l’activité.

Ces avantages sont donc vrais si les exercices lestés sont vraiment inscrits dans une logique d’entraînement, planifiés, mesurés, dosés avec justesse et en connaissance de cause. Grimper pendant 3 mois avec un gilet n’est pas une bonne idée. Pas besoin d’aller au point suivant pour l’écrire !

3. Les inconvénients du travail lesté

On retrouve les mêmes inconvénients que pour tout travail en salle de musculation, avec une différence malgré tout : pour la musculation, (presque) tout le monde sait que ce n’est durablement pas bon pour le « spécifique ». A vrai dire, c’est parce que le travail lesté est très proche de la discipline qu’il est dangereux. Bien plus que la musculation, oserais-je dire. Voici quelques arguments.

• Travailler avec son poids de corps est naturel, c’est un entraînement global (et non analytique). Cela signifie donc que lorsque nous marchons, sautons, grimpons, nos membres s’articulent autour de notre colonne pour exécuter des mouvements, parfois complexes (pour ceux qui ont étudié la marche, vous savez à quel point c’est compliqué d’apprendre à gérer une succession de déséquilibres). Lester son corps, notamment aux extrémités, c’est donc modifier cet « équilibre corporel », cette mécanique bien huilée, naturelle. Les gestes deviennent donc moins précis, et plus difficiles à maîtriser.

• Le second point, forcément lié au premier, concerne la sur-sollicitation répétée lorsqu’on leste le corps : c’est par exemple l’effet bras de levier. En rajoutant du poids aux chevilles et aux poignets, on vient fortement perturber la stabilité articulaire, en augmentant considérablement le risque de blessures, de type inflammation (tendinite par exemple). Sur une machine de musculation, les mouvements sont « dictés », ergonomiquement bon, même s’il ne faut pas en abuser car trop d’ergonomie permet de cibler un groupe musculaire sans forcément prendre en compte la stabilisation articulaire à long terme. Ce n’est donc qu’une question de temps finalement. Mais ce qui est certain, c’est qu’en rajoutant du poids lors d’un travail lesté, on s’expose à des mouvements plus aléatoires, encore une fois moins précis. L’erreur ne pardonnera pas.

• On pourrait aussi évoquer d’autres points (avantages ou inconvénients), mais ce n’est pas tellement l’objectif de cet article.

En résumé

Le travail lesté possède quelques avantages intéressants, mais il doit obligatoirement être réalisé sur des gestes (parfaitement) maîtrisés, en essayant au maximum de travailler sur des amplitudes maximales. Pas simple.

Pour l’escalade proprement dite, le gilet pourrait être le plus efficace, mais attention aux mouvements compensatoires au niveau de la partie supérieure des trapèzes. Par enchaînement, on expose les vertèbres cervicales, et tous les spécialistes savent à quel point les cervicales peuvent engendrer des soucis divers et variés lorsqu’elles se déplacent : maux de tête, propagation dans les fléchisseurs des doigts, perte d’équilibre, influence sur les émotions par exemple.

D’autre part, une étude en course à pied montre que les gains obtenus avec gilet lesté se perdaient très rapidement, car le corps se réadapte à sa construction naturelle. Le jeu n’en vaudrait pas forcément la chandelle…mais les études sérieuses sont assez peu nombreuses.

Alors, que faire ?

À titre personnel, je déconseille le travail lesté en escalade. Néanmoins il existe un compromis intéressant, sur poutre. Pour travailler à force maximale par exemple, je pense qu’il vaut mieux réduire la taille des prises au lieu de charger le corps. Mais si ça expose les articulations, il est préférable de garder une prise meilleure, en rajoutant 1 ou 2 kg sur une planche, par exemple ! On conseille en général de ne pas rajouter plus de 10% du poids de corps (ce qui est énorme !!!).

En résumé, je pense que ce travail lesté n’est vraiment pas indispensable, mais il peut parfois être utile sur poutre, quand il manque un petit quelque chose pour travailler vraiment efficacement (surtout à force maximale). Il ne faut donc pas l’envisager dans une planification mais le prendre comme « joker » dans certains cycles, si besoin. À titre personnel, je conseille plutôt la poutre et la grimpe, plutôt que la grimpe et la grimpe lestée.

Cet article est une goutte d’eau dans l’océan, et le travail lesté nage entre deux eaux. Si l’article « plat de résistance » m’avait mis l’eau à la bouche, j’avoue aussi naviguer en eaux troubles sur cette thématique pas vraiment claire comme de l’eau de roche. Un jour peut-être il faudra approfondir ce travail mais d’ici là il passera beaucoup d’eau sous les ponts. Ça coule de source.

Une chose est certaine, c’est que dans l’eau, vous pouvez lester sans souci ! Comme les activités aquatiques se développent, on pourrait envisager de la poutre aquatique…avec gilet… ?

Thomas Ferry – Préparateur physique en escalade

Une nouvelle année débute, et Julia Chanourdie, membre du team PG, en profite pour faite le bilan de sa saison. 

« Cette année fut remplie de nouvelles expériences et de sensations incroyables !
J’ai participé à de nombreuses compétitions, que ce soit en catégorie junior et senior, en difficulté et bloc. J’ai décidé de laisser la falaise légèrement de coté afin de m’investir pleinement dans l’escalade de compétition. »

• La suite à lire sur son blog PG